•      C'est un vrai bonheur ce petit bouquin!

         La leçon 5 est finie. Il est vraiment très facile (pour l'instant). Le fait d'écrire la prononciation sous chaque mot, sous chaque phrase, aide beaucoup. Comme au début, de toutes les méthodes d'ailleurs, la reprise des même mots, dans des phrases de plus en plus complexes, amène à les bien prononcer, instinctivement.
         Pourquoi n'ai je pas fait celà tout de suite ? !!!

         Pour l'instant, il n'y a pas beaucoup, voire, pas du tout de grammaire. On apprend la prononciation de mots simples.

         C'est une vraie initiation. Savez-vous s'il y a d'autres méthodes qui proposent celà? C'est vrai que ce genre de livre fait moins peur quand on est débutant absolu.

        

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  •      J'ai bien réfléchi à ce qu'a dit M. Morvannou et je ne vais apprendre, pour l'instant, que le KLT. Point trop n'en faut.

         Donc, je me suis remise à écrire. Cette fois sous chaque phrase, j'écris la prononciation. Comme j'avais beaucoup travaillé avec l'API (Alphabet Phonétique International) j'ai décidé de "mixer" les deux. Pour le ë, muet, de je, j'écris un "schwa" 
     ǝ. Pour le HH, de deoc'h (en fin de phrase), je vais utiliser  χ . 
         
        
    Je n'ai fait que les 2 premières leçons et j'ai déjà appris un mot.
    tiède = klouar

         L'orthographe n'est pas radicalement différente, à ce stade.
    beau = braw au lieu de brav et celà se prononce brao (accent tonique sur le a). Il n'y a que "l'universitaire" qui l'écrit directement brao.

         Je vous l'avoue, c'est reposant de recommencer du tout début. Je suis sûre que celà va m'être profitable.
        

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  •      Je ne referai pas la même erreur: ne pas apprendre à prononcer les mots tout de suite.

         Première surprise! Il va falloir que je réapprenne les sigles utilisés pour la prononciation.
         Chaque méthode a son orthographe et sa propre phonétique.
         
         Je n'ai pas la partie audio. Je n'ai que celle de la méthode Assimil de M. Kervella. Alors, il est indispensable de commencer par celà. Je crois que je vais me faire une anti-sèche!

         Non, je ne recommencerai pas la même erreur, celle de ne pas parler en apprenant.On prend tellement vite des mauvaises habitudes, à lire les mots comme en français et elles sont difficiles à changer.

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  •      Je viens de recevoir ma 3ème méthode: "Initiation au breton sans peine" et "Le breton sans peine", collection Assimil par F.Morvannou.

         Je vais commencer par l'initiation. J'espère que je sais déjà tout et qu'il n'y a pas trop de différence.

         En le feuilletant, je viens de m'apercevoir qu'il y a d'expliqué le KLT et le Vannetais, en même temps. M. Morvannou conseille de faire un choix entre les deux et de s'y tenir. je cite: - "maintenez résolument votre choix". 
                                    - "En aucun cas, si vous êtes débutant absolu, ne menez de front l'étude des deux bretons".

          Pourtant, c'est bien tentant d'apprendre les 2! Je vais voir, maintenant que je ne suis plus, tout à fait, une débutante absolue.
                     

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  •      La méthode du Dr J. Tricoire vient d'arriver. Comme elle fait vieillotte, avec ses petits dessins! On dirait un livre scolaire de mon enfance.

         Tome 1 page 1: Facile... je connais déjà tous les mots mais...
    C'est quoi ce livre!!! Il n'a pas la même orthographe que mon Assimil.
    Par exemple: Assimil merc'hed
                       J.Tricoire merhed
                       prononciation = mèrhèt
    Il suffisait que je regarde bien le titre, pourtant: Komzom Brezoneg! Ce n'est pas pareil que Komzomp Brezhoneg!

         C'est un vrai choc. Vous allez dire que j'éxagère, vous le pouvez, mais je ne sais pas quel sens est le plus sollicité chez vous, pour l' apprentissage? Moi, j'ai une mémoire photographique.

         Issue d'une famille très modeste (2 bretons immigrés à Paris, après guerre) mais très courageuse, mes parents nous ont poussé aux études, mon frère et moi (nous serons boursiers toute notre scolarité). Ils n'ont pas été à l'école, où presque pas et ne pouvaient nous aider pour nos devoirs. Ils nous disaient: "récitez vos leçons sur une feuille".

         Et voilà, j'écris avec un belle présentation et CLIC, je prends la photo. Je pouvais réciter la page rien qu'en la lisant une seule fois et si j'oubliais quelque chose je vous disais l'endroit où c'était écrit. Un truc à dégoûter tous ses amis, surtout mon "Chocolat". ( on travaillait nos cours, ensemble.) Maintenant, le principe de base est toujours le même, il faut que j'écrive pour apprendre, malheureusement une  seule lecture ne suffit plus pour que je sache par coeur mais, je photographie toujours.

         Celà a donc été très difficile pour moi, mais on y arrive. Il n'y a pas une si grande différence, quand même. Maintenant que je parle un peu, je trouve cette orthographe plus proche de la prononciation.
    merc'hed, merhed= filles. On dit bien un H aspiré et pas un RR.
    ur c'hi, eur hi = un chien

        J'ai étudié le premier tome en entier et  bien commencé le deuxième.
    Ma syntaxe a évolué. Je déchiffre bien cette orthographe mais je ne l'écris pas. Instinctivement, j'écris en peurunvan, il est ancré en moi, et pour l'instant ça ne me gêne pas.


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